CRÉDIT - TUMBLR

« Anger, Jealousy, Bitterness, Tiredness, Hope, Lust, Love. It's everywhere, it's conceptual. You just can't see it. »

"This is something that everyone knows :"

NOM & PRÉNOM(S) : Gwendolyn (ou simplement Gwen) E. Ryans DATE DE NAISSANCE ET AGE : 4 Février 1988 ~ 24 ans ORIGINE(S) : Anglaise EMPLOI ET/OU ETUDE(S) : Travaille dans un refuge pour animaux STATUT : Celibataire

CHAPTER ONE "Because we all lived in a fairytale."

A L'EPOQUE TU ÉTAIS : Tinker Bel (la fée clochette) LE CONTE : Peter Pan TON RÔLE DANS L'HISTOIRE : Clochette est l'acolyte de Peter Pan, mais celle-ci est amoureuse de lui même si lui ne le voit pas car il passe sa majeure partie de son temps à essayer d'impresionner Wendy.. DE QUEL COTE ES-TU ? : Bien, même si parfois on pourrait croire le contraire. TON DERNIER SOUVENIR : A ses yeux, ce n'est qu'un rêve, elle voit un monde merveilleux où les adultes n'y ont pas de place. La liberté y règne, où les enfants peuvent s'épanouir dans ce temps éternel.

Une petite fée survolait dans la forêt, les arbres et les animaux qui y vivaient la plaisaient bien. Elle faisait partie de la forêt, amie de tous ces êtres. Tink’ était pensive durant son chemin, menant à la cachette de Peter, qui devait rester secrète. La colère la submergeait, elle n’était pas triste... enfin, si un peu quand même, mais ce n’était pas le plus important. Ce qu’elle voulait par-dessus tout, c’était que tout redevienne comme avant. C'est-à-dire, que Wendy et ses frères repartent dans le monde, et qu’ils ne reviennent plus. Surtout Wendy. Ce n’est pas qu’elle détestait la jeune fille, mais elle en était verte de jalousie. Vous allez vous demander pourquoi (en admettant que vous ne connaissez pas déjà l’histoire é.è) Peter tentait le tout pour le tout d’impressionner Wendy, si bien qu’il ne voyait pas l’amour que Clochette lui portait. A ses yeux, elle n’était qu’une minuscule fée qui n’était que son acolyte depuis son arrivée dans le monde imaginaire mais celle-ci portait quelques sentiments qui lorsqu’il approchait Wendy se mettait en colère. Clochette voulait les séparer, parce que cela lui faisait mal, de toujours se faire oublier, de toujours être pris pour une faible alors qu’elle était une battante. Suivant sa rancune, elle retrouvait vite la cachette. Elle savait que Wendy la suivait. Les indiens lui avaient donné des plumes, elle ne savait plus pourquoi mais bon. Clochette retrouvait les enfants perdus, ils étaient assis dans l’herbe en train de parler, ou de rigoler, enfin, leur poste était de surveiller les environs, au cas-où le capitaine Crochet venait par-là. Tinker Bel allait les rejoindre, prenant une mine affolée, ce n’était que de la comédie bien sûre. Elle affirmait que Peter avait ordonné de tuer une Wendy à plumes, qu’elle n’était pas réellement Wendy que tout le monde connaissait. Les enfants perdus la crurent facilement, car ils avaient confiance en elle mais ils n’avaient pas pensé que c’était absurde.
La fée partit dans son appartement dans un arbre en attendant. Elle savait que Peter allait lui en vouloir, mais pas éternellement pas vrai ? Clochette ne souriait pas, elle
n’était pas contente ni malheureuse, mais peut-être rassurée. Car Wendy allait partir pour de bon, les laisser tranquille. Elle ne savait pas combien de temps était passé, en tout cas, elle s’ennuyait d’attendre aussi longtemps. Etait-ce fait ? Est-ce que les enfants perdus l’avaient abattu comme convenu ? Et s’ils avaient échoué ? Elle décidait d’attendre encore un peu avant de se montrer, pour ne pas éveiller les soupçons, mais des cris se firent entendre. Une voix masculine, qui faisait voir qu’elle était en colère, pire même, folle de rage. Clochette savait bien à qui elle appartenait, mais elle fut un peu molle pour rejoindre Peter.

« -Clochette ! Viens tout de suite ! Clochette ! »

Elle sortit de son arbre et volait à sa rencontre. Elle savait que les garçons l’avaient dénoncé, qu’ils leur avaient expliqué comment elle les avait embobinés. Elle vit son expression farouche lorsqu’il la voyait. Peter était vraiment en colère, et pour cela, elle eut une pointe de remords. Mais elle ne se laissait pas faire, elle lui rendit le même regard avec beaucoup plus d’entrain. Du coin de l’œil, elle vit une fille allongée sur le sol entourée des garçons perdus, inerte. Enfin, pas totalement puisqu’elle respirait, Wendy n’était pas morte. Elle allait revenir. Peter lui cria dessus, elle fut brusquée mais n’en fit pas paraitre. Ce n’était pas de sa faute, se convint-elle elle-même. C’était à cause de Wendy et de Peter ! Ils étaient agaçants à la fin ! Et puis, Wendy avait eu ce qu’elle méritait. Peter fit ce qu’elle attendait le moins : il la bannit, il lui demanda de ne plus jamais revenir, qu’elle avait fait la plus grosse erreur qu’elle n’ait jamais faite. L’expression de Tink’ se décomposait en une grimace, elle allait s’envoler pour partir, encore plus folle de rage mais une voix arrêta la dispute. Wendy. Elle prenait la défense de la fée, à sa plus grande surprise. Elle ne souhaitait pas que Tink’ s’en aille à cause d’elle, que Peter y allait un peu trop fort. Peter l’écoutait, et se calmait. Tink’ se demandait bien pourquoi elle faisait cela alors qu’elle ne le méritait pas au fond. En effet, elle avait essayé de la tuer ! Réfléchissant, Peter révoqua la peine. Une semaine. Elle devait s’en aller une semaine, ensuite, elle serait libre de revenir si elle le souhaitait. Elle était blessée mais soulagée qu’elle puisse revenir. Ce fut une de ses grandes erreurs, elle s’en rendait bien compte maintenant, qu’elle n’aurait vraiment pas dû faire ça. Ce n’était pas une façon de se débarrassé d’un problème mais elle était toujours autant jalouse envers eux.

CHAPTER TWO "now, we are trapped in a curse..."

Avant que le réveil ne sonne, une chienne sautait sur le lit d’une jeune fille encore profondément endormie. C’était une habitude pour l’habitude de réveiller sa maitresse, ça l’amusait d’aboyer dans son oreille alors qu’elle sursautait de peur, extirpée de son rêve. La jeune fille se nommant Gwendolyn, ne pouvait pas en vouloir à son petit chien au nom de Sweet. Caressant sa petite fourrure blanche, elle ouvrait lentement les yeux mais la chienne continuait de la câliner. Bientôt, Gwen mit son petit-déjeuner dans sa gamelle tout en faisait son cappuccino et se préparait pour aller au boulot. Et oui, les autres animaux du refuge attendaient également qu’elle vienne et s’en occupe. C’était comme ça que ça marchait. Parfois, Sweet l’accompagnait au refuge, pour ne pas qu’elle reste toute seule mais aujourd’hui elle allait rester ici, bien sagement. Une fois habillée et douchée, Gwen fit une petite promenade avec son chien, et la déposait à l’appartement avant de sauter dans sa voiture. Au contact, elle démarrait pour aller à son lieu de travail. Lorsqu’elle ouvrit la porte, déjà elle entendait les aboiements des chiens abandonnés, contents de la voir. Elle-même était ravie de les retrouver tous, cela lui plaisait vraiment de s’en occuper, les chouchouter et les nourrir. Parfois, elle donnait des petits noms mais être émotionnellement impliquée envers ses bêtes lui causeraient de la peine tôt ou tard, lorsque ceux-ci devraient un jour partir. Ce n’était peut-être pas un super boulot, où on gagnait un max de fric, mais au moins ça lui plaisait. Au cas-où, elle terminerait plus tôt, elle prenait un livre avec elle. Mais cela faisait des semaines qu’elle l’avait et qu’elle n’avait pas le temps de le lire, trop occupée avec les autres animaux. C’était comme ça, que Gwen passait le plus clair de son temps, elle préférait leur compagnie que celle d’un humain, elle se sentait plus proche des animaux.

"You and no one else."

TU ES OFFICIELLEMENT ACCEPTE A TALEVILLE "tu peux passer ton chemin cher ami."